Depuis la sortie de son premier album studio en 2016, Myke Towers était destiné à devenir l'une des figures marquantes de la nouvelle génération de la musique urbaine latine. Son histoire de vie authentique, son impressionnante étendue vocale et ses paroles percutantes l'ont propulsé d'un rappeur freestyle aspirant sur Soundcloud à la conquête de 45 titres dans le classement Hot Latin Songs de Billboard (dont neuf ont atteint le top 10) et au-delà. Maintenant, avec son quatrième album, "La Vida es Una" (La Vie n'est qu'une), Towers prouve qu'il reste une force à prendre en compte, affirmant l'idée que oui, on ne vit qu'une fois. Ce nouvel opus arrive deux ans après son précédent album, "Lyke Mike", qui était entièrement ancré dans son essence trap et hip-hop. "La Vida es Una" est rempli d'un son plus expérimental, avec des morceaux comme "No Salgo" et "Lo Logré" qui conservent son essence rap.
L'album débute avec "Voodoo", une mélodie captivante d'Afrobeats où l'artiste portoricain chante sur la conquête de la personne qui l'intéresse. Suivant la même veine, "Mi Droga" mélange reggaeton et touches de flamenco. Dans des pistes comme "Más Allá" et "Mundo Cruel", Towers explore des rythmes EDM, tandis que dans "Sábado", il introduit un groove funk joyeux et rétro des années 80 qui donne du pouvoir aux femmes. De plus, dans "Flow Jamaican", il s'immerge complètement dans le reggae. Towers montre une versatilité unique mais étonnamment efficace. Bien sûr, on ne pourrait pas se passer de ses mélodies reggaeton et perreo qui l'ont rendu célèbre, présentes dans des chansons comme "Tu Rehén", "Bella Kyal" et "El Alta". Dans "La Vida es Una", Towers collabore avec de grands noms tels que Daddy Yankee, Arcángel, Ozuna et J Balvin, ainsi qu'avec la nouvelle venue Chita, qui brille dans "Cama King", une piste douce de R&B inspirée des années 2000.
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